Hommage de Marie-France Moriaux
LE POÈTE AU GRAND CŒUR
Le temps voluptueux t’enserre de ses bras,
Il transperce ton cœur de la flèche de l’âge,
T’enivrent des plaisirs aux frissons d’apparats ;
Tu rêvais d’un Soleil, il t’a conquis, volage,
T’enivrent des plaisirs aux frissons d’apparats ;
Tu rêvais d’un Soleil, il t’a conquis, volage,
Quelle réminiscence, ainsi, tu vénéras ?
Un vertige me frôle, une ombre sur la page
Dévoile son effluve, Ô souffle intemporel !
Sa lumière m’invite en son bel attelage
Me brûle chastement ce feu surnaturel.
Des sonnets de l’amour, fulgurent tant d’alarmes,
Un vertige me frôle, une ombre sur la page
Dévoile son effluve, Ô souffle intemporel !
Sa lumière m’invite en son bel attelage
Me brûle chastement ce feu surnaturel.
Des sonnets de l’amour, fulgurent tant d’alarmes,
Quand je serai moins jeune -a dit un Ménestrel-
Les rubis de l’automne empourpreront vos larmes.
Les sanglots de l’été glissèrent sur ses draps,
Le violon des vers vibre encor de ses charmes.
Sa flamme, je célèbre, en de mystiques bras.
Les rubis de l’automne empourpreront vos larmes.
Les sanglots de l’été glissèrent sur ses draps,
Le violon des vers vibre encor de ses charmes.
Sa flamme, je célèbre, en de mystiques bras.
Marie-France Moriaux – (Gérardine).